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L’IoT protège les expositions et s’intègre dans la scénographie

Publié le 27/11/2020

L’innovation au service de la sécurité

Le scénographe, véritable maître d’œuvre dans un projet d’exposition permanente ou temporaire, coordonne tous les intervenants : spécialistes des installations et structures, de l’éclairage, du graphisme et de la signalétique, du multimédia…

Il doit concevoir sa scénographie selon le parcours muséographique établi par le commissaire de l’exposition, le conservateur ou le muséographe.

Il faut donc jongler entre toutes les demandes et les attentes et faire en sorte que tous ces éléments soient compatibles.

Qu’en est-il pour la sécurité des œuvres exposées ?

On le voit tous les jours dans les magasins, les systèmes antivol sont disgracieux. Lorsque ce sont les dispositifs sur les objets qui sont discrets il faut alors toute une infrastructure de portique aux entrées-sorties pour que cela fonctionne.

Les capteurs IoT antivol, anti-vandalisme représente la solution idéale lorsque l’on recherche la plus grande discrétion.
En effet, il existe toute une gamme de détecteurs pour s’adapter le plus possible au type d’œuvre sur laquelle il est installé.

Si le capteur IoT antivol s’adapte à l’objet, il peut s’adapter à la scénographie !

La gamme est donc composée de capteurs à fixer directement sur l’œuvre (ou à cacher dans le soclage, ou à cacher dans la vitrine, ou à cacher dans l’oeuvre…) et de capteurs de mise à distance électronique.

Ces derniers offrent différents types de protection. Il y a plusieurs façons de les installer : encastrés dans des estrades, fixés sur les rails d’éclairage….

Ils permettent de compléter voire même de supprimer une mise à distance physique type potelet qui pourrait être disgracieuse.

Les capteurs IoT innovent donc par les technologies et les fonctionnalités qu’ils embarquent mais aussi de par leur installation, dans le respect du travail des scénographes.

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